Stère :
Un stère est une unité de mesure de volume utilisée pour le bois. C’est la quantité de bois correspondant à un volume extérieur d’un m3.
Symbole : st.
Suite d’opérations :
Une suite d’opérations est une succession d’opérations.
Exemple : 5 × 7 - 3 : 2 + 8.
Certaines opérations sont prioritaires par rapport à d’autres.
Suites proportionnelles :
Deux suites proportionnelles sont deux suites où il suffit de multiplier chacun des termes de la première suite par un même nombre non nul k pour obtenir les termes correspondants de la deuxième suite.
k est alors le coefficient de proportionnalité de la première suite à la seconde suite.
Exemple :
nombre de croissants | 2 | 6 |
prix (€) | 1,60 | 4,80 |
Le prix des croissants est proportionnel au nombre de croissants.
0,80 est leur coefficient de proportionnalité.
Supérieur :
Supérieur signifie : plus grand.
Notation : ≥ signifie : est supérieur ou égal à.
> signifie : est strictement supérieur à.
Exemple : 10,3 > 10,23.
Superposable :
Deux figures sont superposables lorsque le calque de l’une peut être posé exactement sur l’autre.
Exemple : L’image d’une figure par une symétrie orthogonale est une figure superposable.
Support :
Le support d’un segment ou d’une demi-droite est la droite qui contient ce segment ou cette demi-droite.
La droite (AB) est le support du segment [AB].
Surface :
Une surface plane est une des régions déterminée par une figure géométrique (réalisée à partir des polygones, des cercles, des droites, etc...).
| |
secteur angulaire (surface plane non mesurable) | disque (surface plane mesurable) |
La surface d’un parallélépipède rectangle, d’un prisme droit ou d’une pyramide est celle de l’ensemble des faces extérieures qui composent ce solide.
La mesure d’une surface est une aire.
Sylvestre II :
Sylvestre II, Gerbert d’Aurillac, est né en France (938-1003).
En mathématiques, sa principale contribution a été d’introduire l’usage des chiffres indo-arabes en Europe.
Il est devenu pape en 999 sous le nom de Sylvestre II.
Symbole :
Un symbole est un caractère évitant d’écrire en toutes lettres les phrases mathématiques.
Exemple : d1 ^ d2 signifie d1 est perpendiculaire à d2.
^ est un symbole.
Quelques symboles usuels :
+ : plus Ï : n’appartient pas à
– : moins < : est strictement inférieur à
× : multiplié par ≤ : est inférieur ou égal à
: : divisé par > : est strictement supérieur à
= : est égal à ³ : est supérieur ou égal à
≠ : est différent de ^ : est perpendiculaire à
≈ : est environ égal à // : est parallèle à
Î : appartient à
Symétrie centrale :
La symétrie centrale est la transformation qui associe à un point ou à une figure son symétrique par rapport à un point.
A’ est le symétrique de A par rapport à un point O signifie que O est le milieu de [AA’].
Notation : A’ = sO (A).
Les symétries centrales conservent les distances, les aires, les angles, les milieux, l’alignement, le parallélisme et l’orthogonalité.
Symétrie orthogonale :
La symétrie orthogonale ou symétrie axiale est la transformation qui associe à un point ou à une figure son symétrique par rapport à une droite.
A’ est le symétrique de A par rapport à une droite d signifie que d est la médiatrice de [AA’].
Notation : A’ = sd (A).
Les symétries orthogonales conservent les distances, les aires, les angles, les milieux, l’alignement, le parallélisme et l’orthogonalité.
Symétrique :
Le symétrique d’un point ou d’une figure est l’image de ce point ou de cette figure par une symétrie centrale ou orthogonale.
Système décimal :
Le système décimal est un système dans lequel on utilise une numération décimale, basée sur dix chiffres (0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 et 9).
Ce système est le plus couramment utilisé dans le monde entier pour écrire nos nombres.
Système d’équations :
Un système de deux équations du premier degré à deux inconnues est constitué de deux égalités dans lesquelles il y a deux inconnues (à l’exposant 1).
Il est de la forme ax + by + c = 0 et a'x + b'y + c' = 0 (où a, b, c, a’, b’ et c’ sont des nombres fixés).
Exemple : 2x + 3y - 5 = 0 et 3x - 2y + 1 = 0.
Système d’inéquations :
Un système de deux inéquations du premier degré à une inconnue est constitué de deux inégalités dans lesquelles il y a une inconnue (à l’exposant 1).
Exemple : 2x - 1 ≤ 2 et x + 1 > 0.